Assistant robotique et handicap moteur
février 24, 2020 par Morgane LOAS
Notre sujet portait sur les assistants robotiques et le handicap moteur.
Un robot est un dispositif mécatronique (alliant mécanique, électronique et informatique) conçu pour accomplir automatiquement des tâches imitant ou reproduisant, dans un domaine précis, des actions humaines.
Ce dernier est qualifié d’assistant lorsqu’il vient en aide à une partie de la population, par exemple, ici, des personnes faisant face à un certain type d’handicap, qu’il soit moteur ou cognitif.
Il peut se définir sous différentes formes, cela peut aller d’un robot à l’apparence humaine ou bien encore des prothèses permettant de remplacer un membre perdu.
Le handicap moteur recouvre l’ensemble des troubles pouvant entraîner une atteinte partielle ou totale de la motricité de l’individu, notamment des membres supérieurs et inférieurs: ça se traduit par des difficultés pour se déplacer, pour conserver ou changer de position, pour prendre et manipuler certains objets ou effectuer certains gestes du quotidien).
1,5% de la population française adulte est atteinte de troubles moteurs isolés, soit environ 850 000 personnes. Si l’on considère le trouble moteur associé à d’autres déficiences, cette estimation atteint tout de même 4%.
Nous nous sommes également focalisé sur le handicap cognitif car les assistants robotiques jouent également un rôle sur ce type de handicap.
Le handicap cognitif caractérise une situation de handicap liée aux dysfonctionnements des activités cognitives (à savoir les activités intellectuelles et émotionnelles) de la personne. Les activités cognitives sont issues de l’activité mentale et regroupent les capacités à agir, à apprendre et à s’adapter. On parle alors de la mémoire, du langage, de l’attention, de la gestuelle et du raisonnement de la personne…
Notre recherche s’est tout d’abord divisée en deux parties, nous avons décidé de traiter en première partie les assistants au service de patients atteints d’handicaps moteurs puis ceux au service de patients atteints d’handicap cognitifs, car après de nombreuses recherches sur les handicaps en tout genre nous avons pu constater que les assistants robotiques pouvaient être d’une grande aide auprès des patients atteints d’autres handicaps tels que les enfants atteints d’autisme.
Au sein de nos deux parties, nous avons fait la différence entre les prothèses robotiques et les assistants robotiques, cela a pu nous permettre de mieux centrer nos recherches et d’être plus efficaces.
Nos recherches nous ont permis de souligner le fait que ces assistants pouvaient grandement améliorer la vie de personnes en situation d’handicap, mais pas seulement, que ces assistants étaient au service de tous, y compris des personnes âgées (ayant du mal à se déplacer ou se sentant très seuls) ou encore des enfants atteints d’autisme.
Ce travail nous a été très bénéfique. Cela nous a permis d’en apprendre plus sur les assistants robotiques/ les prothèses, de mieux comprendre les fonctionnalités de chacune…
Cela a également pu faire évoluer notre regard sur les assistants robotiques et la place importante et utile que ces derniers peuvent avoir dans nos vies.
revue de veille réalisé par Kenza Loussouarn et Morgane Loas.
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