3 ans de travaux sur les environnements connectés
janvier 30, 2018 par Florent ORSONI
4 axes structurants
La chaire Environnements connectés soutenue par Banque Populaire Grand Ouest et LIPPI a consacré 3 ans de travaux autour :
– D’une veille à travers 15 décryptages infos opérés par des spécialistes, venus éclairer sur les enjeux des smart cities, ou de la data,
Carlos Moreno – Conférence « Smart la ville : la vie en mode connecté » – 25 juin 2015
– De l’expérimentation à travers le projet Midir (capteur de données environnementales développé avec le concours de STEREOLUX et de XLII Factory et déployés notamment sur quelques lieux du Quartier de la Création) et d’un partenariat avec le RFI OIC sur des sujets aussi variés que la lumière (projet AD LUX en partenariat avec le GRANEM),
Modélisation de la démarche expérimentale
– De l’éditorialisation de contenus à travers notamment la coordination d’un numéro de la revue Sciences du design consacré aux urbanités numériques, coordonnée par Jocelyne Le Bœuf, Grégoire Cliquet et Jean-Louis Kerouanton, l’écriture d’un ouvrage sur l’expérimentation urbaine (la démarche Urban Living Lab) ou encore la sortie à venir de Matières de recherche, du design et des environnements connectés,
Couverture de l’ouvrage: du design et des environnements connectés, à paraître
– et enfin de la diffusion élargie avec participation à de nombreuses conférences en France et dans le monde.
Perspectives et ouvertures
Cette démarche a été particulièrement structurante en termes de recherche et d’approches pédagogiques, avec notamment la mise en place d’un module smart cities pour l’option design urbain ou encore l’ouverture sur notre projet européen Atlantic Youth Creative Hub.
Elle ouvre aussi sur un partenariat à long terme avec la Creative Factory et le Nantes City Lab sur les questions d’expérimentations urbaines et de rue connectée.
Elle permet aussi (et surtout), sur le plan des valeurs et du sens, de partager et de donner des outils pour un « bon usage des données » face aux menaces aujourd’hui qui pèsent sur la notion de « vie privée » et aux mirages d’une vie algorithmique.
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